Sonkorisation de l'espace public un nouveau phénomène qui entrain de vibrer le pays. A cette effet, selon le sociologue Souleymane Lô sur (senego) c'est un nouveau forme de lutte, de résistance pacifique afin de délivrer un message à Ousmane Sonko et que le pouvoir devrait décrypter.
Le sociologue Souleymane Lô souligne tout simplement que << les jeunes n’entendent pas s’arrêter ou être vaincus face à un pouvoir qu’ils pensent dictateur vis à vis des manières de faire contre leur leader Ousmane Sonko >>
Pour lui, les jeunes ont compris maintenant que << la lutte peut avoir plusieurs formes et de manière pacifique en choisissant des lieux stratégiques pour davantage perturber ou mettre mal-en-point les autorités qui sont à la limite, à la recherche de popularité en voulant récupérer certains évènements.
C’est une façon également pour les jeune d’écoeurer les autorités, en même temps leur montrer qu’aujourd’hui dans leurs cœurs, il n’y a que Ousmane Sonko.
Et que véritablement que même si les manifestations sont interdites avec les repressions policières et gendarmes avec des morts d’hommes, il y a d’autres possibilités et alternatives d’exprimer leur désarroi et de dénoncer la dictature exercer à l’encontre de leur leader >>
Sur les ondes de Sud FM repris a221, ce nouveau phénomène montre également qu'ils sont nostalgique de Ousmane Sonko. Sa présence et son absence n'empêchent en rien la vive flamme d'amour et de sympathie à l'endroit de leur leader Ousmane Sonko.
Enfin, le sociologue conclut que si « l’Etat sait lire entre les lignes, doit savoir qu’il a échoué vis à vis de sa jeunesse qui lui tourne le dos… ».
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