Sortie des épouses de Sonko : Mamoudou Ibra Kane livre ses vérités

Les deux épouses du leader de l'ex parti Pastef Ousmane Sonko sont sorties vendredi dernier dans un entretien accordé exclusivement à Dakar matin. Ces dernières ont lancé un appel au président Macky Sall à libérer leur mari qui a besoin de soins spéciaux et de la présence de sa famille.
 
Interpellé sur cette sortie médiatique, Mamadou. Ibra kane donne son opinion lors de ses retrouvailles avec le Jury du Dimanche, cette fois comme invité. 
 
<<J’ai entendu deux épouses lancer un appel à l’endroit du président de la République et de son épouse la première dame. Elles souhaiteraient que leur époux rentre à la maison. Une fois qu’il aura recouvré la liberté qu’on lui prodigue des soins parce qu’il a besoin de se soigner. C’est un appel qui humainement peut se comprendre >> explique le leader du Mouvement Demain c'est Maintenant 
 
Pour le journaliste, la dimension humaine est importante dans l'équation Ousmane Sonko informe seneweb. Beaucoup d'affaires d'Etat ont trouvé solution dans une chambre conjugale”, estime-t-il. “ Le président de la République a un pouvoir de grâce, il peut également être initiateur d’un projet de loi d’amnistie mais on n’en est pas encore là, a-t-il poursuivi. Toujours est-il que les deux épouses de Sonko se sont adressées à lui pour interpeller son sens de l’humanisme”.
 
L' ancien patron d'Emedias Mamadou Ibra kane, s'est aussi prononcé sur la personne de Ousmane Sonko dont il critique son discours : " Sonko est un homme politique qui pose des actes, qui a un discours que je ne partage pas totalement. Parce que j’estime que tout ce qui peut être source de violence n’est pas bon. Mais, je respecte la trajectoire qu’il a choisi tout en marquant mon option pour une autre façon de faire de la politique. Sur ses actes politiques, il est libre en tant qu’acteur de penser que peut être à un moment donné il doit dire ceci ou il doit faire cela. Je veux dire il faut dissocier la dimension humaine du problème de la dimension politique du problème”. Dit le journaliste
 
 

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