Présidentielle 2024: 29 partis investissent Ousmane Sonko et s'adressent au Conseil Constitutionnel

Le dossier de candidature présidentielle de Ousmane Sonko sera examiné le 5 janvier prochain; car son mandataire était absent le jour où il a été programmé alors qu'il occupe la quatrième place après le tirage au sort.
 
 
Pendant ce temps, 29 partis ont investi ce dimanche 31 décembre 2023 Ousmane Sonko et ils ont ainsi adressé un message au Conseil Constitutionnel.
 
 
Le président du parti SET, Moustapha Guirassy fait partie des leaders politiques qui ont investi Ousmane Sonko comme candidat à la prochaine élection présidentielle, estime que la stabilité du pays dépend ainsi des septs sages: "Le Conseil Constitutionnel a le redoutable devoir, la redoutable charge de rééquilibrer les pouvoirs. Le Conseil Constitutionnel a la redoutable mission de ramener la paix dans ce pays. Le Conseil Constitutionnel a la redoutable mission de redorer le blason de la justice. Je disais tout à l'heure la confiance historique est importante. Il y a des juges qui ne sont plus. Il y a des présidents qui ne sont plus. Il y a beaucoup d'êtres humains qui ne sont plus de ce monde. Mais l'acquis conscience historique, c'est poser des actes qui pénètrent le futur, c'est poser des actes qui sont durables, qui sont éternels, qui transforment, qui rendent heureux même après votre vie. Le Conseil Constitutionnel a ce redoutable devoir. Il n'a pas le droit de mettre une vérité exclusive fut-elle celle d'un président en exercice au-dessus de la vérité de tout un peuple."  
 
 
Précisant toutefois que son intention est loin de "menacer" les institutions Guirassy estime que: " le Conseil Constitutionnel ne peut pas fouler du pied les décisions de justice qui ont rétabli le droit et dans un contexte extrêmement difficile" 
 
De façon plus ou précise, Birame Souley Diop demande au conseil constitutionnel '"de dire la justice" 
 
Plus perçant, Moustapha Guirassy soutient " qu'une élection présidentielle sans Ousmane Sonko rendrait illégitime et pour cinq ans tout président qui serait à la tête du pays."
 
 
Cependant, ces 29 regroupements de partis et de mouvements ayant investi le candidat de l'ex parti-pastef Ousmane Sonko demandent au Sénégalais d'aller retirer leur carte d'électeur afin de pouvoir élire Ousmane Sonko comme 5e président du Sénégal.
 

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