On a appris plus sur l'affaire de l'homme égorgé à la SOGAS. En effet, les résultats de l'autopsie ont montré que Amadou Diaw a été bel et bien égorgé.
Le dossier médical, parvenu aux enquêteurs du commissariat de pikine; ont interrogé Abdou Mbaye sur procès verbal et ce dernier a reconnu sa culpabilité selon la source.
Cependant, le mise en cause a justifié son acte criminel en accusant la victime de courtiser sa femme. Abdou Mbaye a confié aux enquêteurs d'avoir vu sa femme en compagnie du défunt Abdou Diaw.
Toutefois, l'histoire a révélé plus profond qu'une histoire de téléphone portable et de dette de 10 mil FCFA. En effet les premiers éléments soulignaient que le meurtrier présumé aurait vendu un téléphone à crédit à son collègue. Et ce dernier avait payé la moitié de l'argent. C'est quand que le mise en cause est venue lui demander son acompte que le défunt lui avait refusé de payé sous prétexte que le téléphone n'était pas en bon état. Confrontés à leur lieu de travail c'est là-bas que Abdou aurait égorgé son collègue.
Après avoir pris la fuite l'homme a été retrouvé et les éléments de l'enquête ont montré qu'une affaire de jalousie est mêlée à cette tragédie.
Ainsi, en à croire à la description du meurtrier présumé selon les Échos, l'homme est caractérisé de belliqueux et impulsif. En effet ces collègues à l'abattoir de la Seras ont témoigné que le mise en cause a une personnalité inquiétante il est épinglé en personne " impulsif et belliqueux en diable" . Selon ses collègues d'après la source " il s'est confronté presque avec tout le monde qu'il s'emporte très vite et développe une agressivité morbide doublée de grincheux et acariâtre" .
Le présumé meurtrier renvoie ainsi à l'image d'un homme craignant à la société de gestion des abattoirs du Sénégal ( SoGAS). En effet il terrorise ses collègues et les menaces. Raconte-t-il à l'anonymat : " Dans un passé récent, il a eu à pourchasser un individu avec une hache et un autre avec une machette dans les locaux de la Sogas "
A retenir que l'homme est entre les mains de la justice. Nous poursuivrons la suite du dossier !
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